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Education:vers la suppression de l’examen du BEM!

Echoroukonline
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Education:vers la suppression de l’examen du BEM!
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Le ministère de l’Education nationale examine la possibilité de supprimer l’examen du Brevet d’enseignement moyen (BEM), tandis que la suppression de l’examen de fin de cycle primaire (5e) n’est pas envisageable actuellement. C’est en tout cas ce qu’a affirmé dimanche le vice-directeur des programmes d’enseignement au ministère de l’Education nationale, Mustapha Hamdi.

Le chargé des programmes d’enseignement auprès du département de Nouria Benghabrit a révélé que la commission ministérielle, à laquelle il a été confié la tâche d’évaluer les examens scolaires  officiels, s’attèle à mettre les derniers retouches sur le projet examinant l’éventualité de suppression de l’examen du BEM à l’avenir, tout en maintenant en revanche le contrôle continu, qui se focalise sur le calcul des résultats obtenus durant les trois trimestres.

Par ailleurs, Hamdi a fait savoir que la suppression des épreuves de la 5e n’est pas à l’ordre du jour, sachant que la décision d’admission systématique des élèves ayant échoué lors de l’examen de fin de cycle primaire en 1e année moyenne est réservée exclusivement ne concerne que les écoliers aux besoins spécifiques.

L’invité de l’émission “Invité de la Rédaction” sur les ondes de la Chaîne 3 de la Radio nationale a expliqué que les sujets des examens du BEM étaient distribués sur l’ensemble des centres d’examen.

Quant à l’admission au secondaire, l’interlocuteur a tenu à préciser qu’il sera pris en considération la moyenne annuelle ainsi que la moyenne obtenue lors de ces épreuves. Ainsi, tout candidat ayant eu une note de 10 sur 20 pourra passer au palier supérieur, c’est-à-dire au secondaire.

Par ailleurs, il a affirmé que toutes les conditions sont réunies pour un meilleur déroulement des épreuves du BEM qui se tiendront sur trois jours, et à compter de ce lundi 28 mai 2018.

Selon toujours Mustapha Hamdi, le taux d’échec enregistré dans le cycle moyen s’élève à plus de 43%, c’est pourquoi, soutient-il, la tutelle s’emploie à réduire cette proportion à travers l’orientation des élèves recalés vers des centres de formation pour recevoir un apprentissage et une formation spécialisée dans divers domaines.

Nachida Kouadri / Traduit par: Moussa. K.

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