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La France préoccupée par le recul de ses parts sur le marché algérien!

Echoroukonline
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La France préoccupée par le recul de ses parts sur le marché algérien!
D.R
Drapeaux algérien et français

Cent (100) hommes d’affaires algériens s’envoleront après l’Aïd El Fitr à Paris pour prendre part aux rencontres algéro-françaises qui auront lieu du 11 au 21 juin prochain.

L’ambassade de France en Algérie a indiqué dans un communiqué que des “Rencontres Algérie” se tiendront du 11 au 21 juin prochain à Paris, au siège de Business France. Cette manifestation s’inscrit dans le cadre du renforcement du partenariat productif entre les firmes françaises et les firmes algériennes. A cet effet, il y a lieu de rappeler que l’Algérie compte énormément sur le développement de nombre de secteurs industriels.

Détrônée par la Chine, la France compte reconquérir le marché algérien avec le déploiement de plus en plus d’entreprises et devenir ainsi le premier fournisseur de l’Algérie.

Ces rencontres seront marquées par une forte participation des entreprises algériennes ainsi que d’un certain nombre d’officiels, entre autres le ministre de l’Industrie et des mines, du Forum des chefs d’entreprise (FCE), de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI), le Club des Entrepreneurs et Industriels de la Mitidja (CEIMI), la Chambre de commerce et d’industrie  algéro-française (CCIAF) et d’autres organisations.

Ainsi, cent (100) chefs d’entreprises algériens et des représentants des secteurs public et privé sont attendus dans la Ville des Lumières pour examiner des voies et moyens de nouer de nouveaux partenariats.

Il sera question de débattre des nouveaux développements qu’a connus le climat des affaires et les nouvelles législations ainsi que quatre (04) ateliers autour des opportunités de partenariat, de la sous-traitance industrielle et agricole.

 Selon le même communiqué, la France demeure le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie, avec des investissements directs de l’ordre de 2.5 milliards d’euros, répartis sur divers secteurs, dont l’industrie automobile, les banques et l’industrie agroalimentaire.

Rappelons que 500 compagnies françaises exercent en Algérie, entre autres Renault, Sanofi, Alstom et Schneider, ce qui a permis de générer 40.000 emplois directs et 100.000 emplois indirects.

Imène Kimouche / Traduit par: Moussa. K.

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Commentaires
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  • abdel

    Ghir alkhir maydjich min Firança alkhabitha. L'Algérie est le pays le plus mal aimé question économie avec la France. Aidée par ses TAUPES Algériens (causes connues) la France freine notre économie depuis l'indépendance jusqu'à nos jours.

  • PATRIOTE

    c est pas vrai ce que vous dits!....la france n investit pas !...elle fait du vil commerce!...les banques ce nest pas un invstissemnt ! Renault c est de l'importation deguyiséee!...toutes les autres entreprises ne font que nous vendre leurs marchandises au double prix du marche international!...avez vous oublié la surfacturation de SANOFI ou elle a multipluie par 100 (cent) le montant de sa facture ?....Imene Kimouche est elle berberiste-kabyliste ? c'est a dire les relais soumis a la france néo-coloniale !?...M