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Trump porte plainte contre CNN et réclame 475 millions $

Echoroukonline
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Trump porte plainte contre CNN et réclame 475 millions $
D.R
Donald Trump

L’ancien président américain réclame 475 millions de dollars de dommages et intérêts a la chaîne américaine qui a selon lui “cherché a utiliser son immense influence” pour le “diffamer auprès de ses téléspectateurs”.

L’ex-président américain Donald Trump a porté plainte lundi contre la chaîne CNN, l’accusant de le diffamer parce qu’elle craindrait qu’il ne brigue de nouveau la présidence en 2024 et lui réclamant 475 millions de dollars en dommages et intérêts, selon BFMTV.

Le républicain, qui flirte de plus en plus ouvertement avec l’idée de se porter candidat a la Maison Blanche, estime que CNN “a cherché a utiliser son immense influence” pour le “diffamer auprès de ses téléspectateurs et lecteurs dans le but de le vaincre politiquement”, selon le texte de la plainte déposée en Floride.

“Diffamation et calomnie”

“La campagne de dissuasion de CNN, sous forme de diffamation et de calomnie contre le plaignant, n’a fait que monter ces derniers mois car CNN craint que le plaignant ne soit candidat a la présidence en 2024”, selon la même source.

Donald Trump accuse la chaîne de vouloir “faire pencher la balance politique a gauche” en tentant de le “salir” avec “une série de qualificatifs toujours plus diffamatoires, faux et scandaleux comme ‘raciste’, ‘laquais des Russes’, ‘insurrectionniste’ et au final ‘Hitler'”.

L’homme d’affaires reproche particulièrement a CNN d’utiliser l’expression “le Grand Mensonge” pour parler de ses allégations selon lesquelles la présidentielle de 2020 lui a été “volée” par Joe Biden.

Quand Trump qualifie Biden de “l’ennemi de l’Etat”

L’ancien président américain Donald Trump a répondu samedi a Joe Biden, qui l’a dépeint en menace pour la démocratie, en le traitant a son tour d'”ennemi de l’Etat” et en faisant son procès en incompétence, lors d’un meeting de campagne en Pennsylvanie pour les élections de mi-mandat.

Sur les terres de Biden

A Wilkes-Barre, petite localité proche de Scranton, ville natale de Joe Biden, Donald Trump était venu soutenir des candidats républicains aux prochaines élections de mi-mandat le 8 novembre, notamment Mehmet Oz, un médecin devenu vedette du petit écran, selon BFMTV.

“C’est lui (Joe Biden), l’ennemi de l’Etat”, a voulu lui répondre Donald Trump, dénonçant “le discours le plus vicieux, haineux et diviseur jamais prononcé par un président américain”. “Son discours n’était que haine et colère”, a-t-il insisté, a l’unisson de ses partisans.

“Vous pourriez prendre les cinq pires présidents de l’histoire des Etats-Unis, et les mettre ensemble, ils ne pourraient pas avoir fait le mal que Joe Biden a fait a notre pays en moins de deux ans”, a asséné le républicain de 76 ans. Le meeting avait commencé par une sélection d’images de Joe Biden bafouillant lors de discours.

Trump veut empêcher le FBI d’analyser les documents saisis chez lui

L’ancien président américain Donald Trump a demandé lundi a un tribunal fédéral d’empêcher provisoirement le FBI d’analyser les documents saisis a son domicile de Floride, il y a deux semaines, jusqu’a la nomination d’un expert pour superviser la procédure.

Dans une requête déposée auprès d’un tribunal fédéral de Palm Beach Ouest, en Floride, l’ex-locataire de la Maison blanche a aussi demandé au département américain de la Justice de lui fournir des informations plus détaillées sur les documents saisis par les enquêteurs du FBI a Mar-a-Lago le 8 août, selon Reuters.

Il a aussi demandé que lui soit rendu tout document ou objet n’entrant pas dans le champ d’application du mandat de perquisition.

La requête, dans laquelle il est souligné que le maintien de l’ordre ne peut pas être utilisé “comme une arme a des fins politiques”, a atterri sur le bureau de la juge de district Aileen Cannon, nommée par Donald Trump.

La perquisition menée a Mar-a-Lago plus tôt ce mois-ci a marqué une escalade dans l’une des nombreuses enquêtes fédérales ou locales visant Donald Trump pour ses agissements durant son mandat présidentiel et pour ses entreprises.

Perquisition: voici ce que le FBI a trouvé chez Trump

Les agents du FBI qui ont mené lundi 8 août une perquisition au domicile de Donald Trump, en Floride, ont saisi des documents classifiés, dont certains classés « top secret », que l’ancien président américain avait emportés illégalement avec lui en quittant la Maison Blanche, selon des informations judiciaires publiées vendredi.

Les enquêteurs du FBI soupçonnent le républicain d’avoir violé une loi américaine sur l’espionnage qui encadre très strictement la détention de documents confidentiels liés a la sécurité nationale, dont certains ne doivent être consultés ou vus que dans des bâtiments sécurisés. D’après des experts, le fait d’invoquer cette loi ne signifie pas que l’ancien président risque d’être accusé d’espionnage. «La loi sur l’espionnage comprend un tas de crimes qui n’ont rien a voir avec l’espionnage», a ainsi déclaré Bradley Moss, un avocat spécialiste de ces questions, sur Twitter.

Plusieurs documents judiciaires ont été rendus publics vendredi par un juge fédéral de Floride: le mandat autorisant la perquisition qui s’est déroulée lundi, ainsi qu’un long inventaire des documents saisis par les agents du FBI. Dans cette liste est mentionné un ensemble de documents classés « top secret » – la plus haute classification américaine pour un document –, « secret » ou « confidentiel ».

Une trentaine de cartons ont été saisis, ainsi que des classeurs avec des photos et une note manuscrite par laquelle Donald Trump avait accordé sa grace présidentielle a son ancien associé Roger Stone.

Pas de commentaire de l’Elysée

La police fédérale a également saisi des documents concernant le « président de la France », selon Le Monde. Contacté par l’agence Reuters, l’Elysée n’a pas souhaité faire de commentaire sur ces « informations » qui auraient été en possession de Donald Trump.

L’ancien président américain ne s’est pas opposé a ce que le contenu du mandat de perquisition soit rendu public. « Non seulement je ne m’opposerai pas a la publication des documents (…) mais j’irai plus loin en ENCOURAGEANT leur publication immédiate », a-t-il écrit jeudi soir sur le réseau social qu’il a créé, Truth Social, lui qui s’était pourtant abstenu de rendre publique la copie du mandat qu’il avait reçue. Il a assuré dans un communiqué, vendredi, que les documents récupérés par la police avaient tous été déclassifiés.

Il a en revanche démenti que les agents fédéraux aient été a la recherche de documents liés aux armes nucléaires des Etats-Unis, comme l’a rapporté jeudi le Washington Post. «Cette histoire d’armes nucléaires est un canular», a-t-il écrit sur Truth Social. Donald Trump a estimé que ces informations étaient a mettre au même rang que les controverses concernant ses liens avec Moscou et les deux procédures d’impeachment engagées contre lui.

Perquisition chez Trump: Le FBI recherchait des documents sur les armes nucléaires

Le Washington Post affirme que les agents du renseignement cherchaient des documents contenant des informations liées au nucléaire qui pourraient «tomber entre de mauvaises mains». Rien n’indique que ces documents ont été retrouvés.

Trois jours seulement après la très médiatisée perquisition du domicile de Donald Trump en Floride, les raisons de cette visite s’éclaircissent doucement. Selon le Washington Post , citant des sources anonymes mais «proches de l’enquête», les agents du FBI étaient notamment a la recherche de documents classifiés relatifs aux armes nucléaires.

Le Washington Post affirme que les agents du renseignement cherchaient des documents contenant des informations liées au nucléaire qui pourraient «tomber entre de mauvaises mains». Rien n’indique que ces documents ont été retrouvés.

Trois jours seulement après la très médiatisée perquisition du domicile de Donald Trump en Floride, les raisons de cette visite s’éclaircissent doucement. Selon le Washington Post , citant des sources anonymes mais «proches de l’enquête», les agents du FBI étaient notamment a la recherche de documents classifiés relatifs aux armes nucléaires.

‘incertitude plane encore sur l’objet précis de ces documents : les sources interrogées par le Washington Post «n’ont pas précisé s’il s’agissait d’armes appartenant aux Etats-Unis ou a une autre nation». Surtout, elles «n’ont pas précisé si de tels documents avaient été récupérés dans le cadre de la perquisition», étaye l’article.

L’ancien président américain a annoncé ce lundi que sa célèbre propriété Mar-a-Lago avait été «perquisitionnée» par la police fédérale.

L’ancien président américain a annoncé lundi que sa célèbre résidence de Floride, Mar-a-Lago, avait été «perquisitionnée» par la police fédérale (FBI), se disant victime d’une «persécution politique».

L’ex-dirigeant républicain, lié de près ou de loin a plusieurs dossiers judiciaires, n’a pas précisé la raison de cette perquisition. Mais, selon des médias américains, l’intervention relève d’une enquête sur la mauvaise gestion de documents classifiés, qui avaient été envoyés a Mar-a-Lago.

«Instrumentalisation du système judiciaire»

«Notre nation vit des jours sombres, ma belle demeure, Mar-a-Lago a Palm Beach, en Floride, est assiégée et a été perquisitionnée et occupée par de nombreux agents du FBI», a déclaré Donald Trump dans un communiqué, se disant victime d’une «persécution politique».

«Après avoir travaillé et coopéré avec les agences gouvernementales concernées, cette perquisition non annoncée de mon domicile n’était ni nécessaire ni appropriée», a-t-il affirmé. Des images aériennes de Mar-a-Lago ont montré des voitures de police a l’extérieur de la propriété. Des partisans de Donald Trump se sont également rassemblés a l’extérieur, brandissant des banderoles portant son nom ou des drapeaux américains a son effigie.

«Ils ont même forcé mon coffre-fort !», s’est indigné Donald Trump qui ne se trouvait pas sur place, selon le New York Times. «C’est une faute du procureur, l’instrumentalisation du système judiciaire et une attaque des démocrates de la gauche radicale qui ne veulent désespérément pas que je me présente a la présidence en 2024», a-t-il encore dénoncé selon le quotidien.

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