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Après l’emprisonnement de leurs chefs respectifs

Les partis de “l’alliance présidentielle” en quête de nouveaux leaders!

Echoroukonline
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Les partis de “l’alliance présidentielle” en quête de nouveaux leaders!
Echoroukonline
Les anciens leaders de l'alliance présidentielle

Les partis politiques dits de l’”Alliance présidentielle” se préparent, circonstance oblige, de remettre de l’ordre dans leurs maisons dévastées par les scandales et l’emprisonnement de leurs chefs pour implication dans des affaires de corruption.

En effet, ces formations décriées par le peuple cherchent désespérément à se refaire une virginité après avoir servi de leviers pour le maintien de l’ancien régime au pouvoir.

Après le placement en détention provisoire de Ahmed Ouyahia (RND), Amara Benyounès (MPA), Djamel Ould Abbès (FLN) et Amar Ghoul (TAJ) dans des affaires liées à la corruption et à l’abus de fonction, les directions de ces partis s’emploient à élire de nouveaux leaders afin d’amadouer à la Hirak populaire à être “tendre” avec eux, dont certains n’hésitent d’ailleurs pas à demander pardon et à s’engager à ce que les erreurs commises antérieurement ne se reproduisent plus à l’avenir.

D’ailleurs, c’est le cas du Rassemblement national démocratique (RND) dont son secrétaire général par intérim fraîchement élu, en l’occurrence Azeddine Mihoubi avait promis de faire de son parti “un pôle politique qui va inspirer confiance au peuple “.

Idem pour TAJ, dont nos sources donnent l’actuelle ministre de l’Environnement, Fatma Zohra Zerouati comme potentielle successeuse d’Amar Ghoul, écroué à la prison de El Harrach.

 De son côté, Mohamed Djemaiai, nouveau secrétaire général du FLN est en quête d’un consensus au sein de sa famille politique en vue de mettre fin aux conflits internes en prévision de l’annonce de la nouvelle composante du bureau politique du vieux parti.

En revanche, le Mouvement populaire algérien (MPA) ne s’est toujours pas prononcé à propos du poste du président du parti, sachant que son chef de file, Amara Benyounès, a été incarcéré à la prison de El Harrach depuis plus d’un mois, lui qui a été un fervent partisan du 4e mandat de Bouteflika et du 5e avant d’être poussé à la démission par un mouvement populaire sans précédent qui a déclenché le 22 février dernier.

Asma Bahlouli / Traduit par: Moussa. K.

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