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Poursuite des limogeage: des responsables ont la peur bleue au ventre!

Echoroukonline
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Poursuite des limogeage: des responsables ont la peur bleue au ventre!
D.R
Palais du gouvernement, rue Dr Saadane

La rigueur affichée par l’Etat à l’égard de ses cadres et des élus a poussé les Algériens à se demander si cette nouvelle méthode est dictée par la conjoncture et les exigences de l’heure, ou s’il s’agit bien d’une orientation que l’Etat veut instaurer à l’avenir.

La  dernière décision en date fut celle prise par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika ayant mis fin aux fonctions du wali de Blida “sacrifié”  après la propagation de l’épidémie du choléra.

L’apparition de cette pandémie est imputée en grande partie à la défaillance des autorités locales, au non-respect des mesures de prévention et à l’absence des conditions d’hygiène et la mauvaise gestion de la crise.

Faute d’explication et de motif de cette décision, les spéculations  se sont multipliées sur les réseaux sociaux en tentant de trouver la cause la plus plausible qui a valu son poste au wali de Blida. Du coup, les internautes ont lié le limogeage de ce dernier à une vidéo dans laquelle il s’est opposé à l’ouverture de la porte d’une chambre où se trouvait une femme atteinte du choléra dans un hôpital à Blida.

En tout cas, ce responsable n’est pas le seul à être remercié, car le sénateur RND de Tipasa,  Malik Boudjouher a lui-aussi fait l’objet de la levée de son immunité parlementaire avant d’être emprisonné pour une affaire de corruption dont il aurait touché 500 millions de centimes de pots-de-vin.

Ces développements interviennent dans un contexte où l’on annonce un éventuel remaniement ministériel et un mouvement dans les rangs des walis après un vaste mouvement opéré dans les rangs des magistrats.

Le limogeage du wali de Blida, la levée de l’immunité dudit sénateur et les changements opérés à la tête de l’institut militaire seraient visiblement des données dictées par la nature de la période marquée par le scandale dit “Kamel El Bouchi” accompagné par une série de limogeage ayant touché de responsables influents, entre autre le DGSN, le général-major Abdelghani Hamel et le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Menad Nouba.

De l’avis des observateurs, la seule solution pour éviter ce type de maux est de faire dans l’anticipation et la prévention.

Mohamed Meslem / Traduit par: Moussa. K.

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Commentaires
1
  • toto

    ?la peur bleue au ventre
    Franchement, élevez un peu votre niveau ça devient ridicule, soit on dit la peur au ventre, soit une peur bleue, mais ne mélangez pas chaabane fi ramdane