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Le gouvernement français reconnait sa responsabilité dans le crime des essais nucléaires en Algérie

Le gouvernement français reconnait sa responsabilité dans le crime des essais nucléaires en Algérie

Le tribunal d’instance de Paris a obligé le gouvernement français à reconnaitre sa responsabilité dans les atteintes des personnes qui étaient présentes dans les régions des essais nucléaires dans le sud Algérien. Rappelons que les autorités coloniales avaient pratiqué les essais nucléaires à partir du 13 février 1960.

  • Cette décision de justice prononcée hier  a reconnu explicitement qu’un militaire français nommé Gerard Dalak qui avait travaillé dans la région de Reggane à l’époque des expériences nucléaires   ,a été exposé à des radiations nucléaires. Cette décision de justice  n’a pas était à la hauteur de l’attente des victimes car elle n’avait établi  aucun lien entre les radiations nucléaires et les maladies cancéreuses qui ont atteint ceux présents alors dans les zones des essais,  français et algériens y compris le nommé Gérard Dallak qui souffre d’un cancer de la peau.
  • Malgré cela cette décision constitue une avancée considérable sur le chemin  du dédommagement des victimes  surtout après que la chambre avait condamné le gouvernement français à  dédommager  des militaires de la région de Nacy en 2008. Et ceci représente un soutien important pour les  revendications algérienne   concernant     les habitants des régions du sud ou se sont déroulés les essais.
  • Dans ce même contexte, Monsieur Michel  Vergi président de l’association des anciens victimes des essais nucléaires français qui est une organisation qui fournie des aides juridiques aux militaires français exposés aux radiations nucléaires en Algérie,  a révèle que le nombre des dossiers des victimes qui revendiquent  des dédommagements  a atteint   400 dossiers.
  • Cet ancien militaire français Verge a, déclaré  au journal « le monde »  que la commission de dédommagement des victimes avait refusé en 2006  les plaintes et les demandes de Gérard Dallak et de dix de ses compagnons militaires qui avaient travaillé dans la région de Reggane à partir du 13 février 1 963.

 

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