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Les nouveaux détails sur l’assassinat de Ben Laden

Echoroukonline
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Les nouveaux détails sur l’assassinat de Ben Laden
D.R
Oussama Ben Laden

Les circonstances de la mort d’Oussama Ben Laden, ancien chef de l’organisation terroriste Al-Qaïda, demeurent encore mystérieuse, 7 ans après son assassinat par un commando américain le 2 mai 2011.

Un soldat des Marines américaines, Robert Ownell, s’est confié à la chaîne Fox News pour conter, dit-il, les derniers instants vécus par le chef terroriste avant sa mort à Abbottabad (Pakistan). « Je n’allais pas prendre part à l’assaut du commando, mais en fin de compte, j’ai été désigné. Oussama Ben Laden était comme un fantôme. Pendant l’assaut, l’un de ses frères d’armes a tenté de se faire exploser pour le protéger, mais un soldat du commando est intervenu à temps pour l’en empêcher », a-t-il raconté.

Le soldat américain poursuit en affirmant que cette initiative a permis à Oussama Ben Laden de prendre la fuite, mais il a, néanmoins, pu lui tirer dessus et l’abattre. « Nous ne nous attendions pas à sortir vivants », a-t-il encore confié.

«J’étais à l’arrière. Dans les escaliers, nous avons d’abord neutralisé Khalid, un des fils de Ben Laden. Puis, au deuxième étage, l’homme de pointe a tiré un coup vers un rideau avant de se jeter sur deux femmes, qu’il pensait vêtues de gilets explosifs. Aussitôt, je l’ai reconnu à son nez, sa barbe et à sa silhouette longiligne »,a-t-il ajouté.

Ben Laden,a-t-il poursuivi, se tenait là, dans sa chambre, devant moi. Comme il était menaçant et refusait de se rendre, je l’ai traité en kamikaze. Tout s’est passé très vite. Je lui ai tiré trois balles dans la tête. Son crâne était ouvert en deux. Amal, une de ses quatre épouses, m’a alors sauté dessus, je l’ai poussée sur le lit. Dans un coin, le plus jeune fils de Ben Laden, âgé de deux ans, pleurait. Un des gars m’a demandé : « Tu vas bien ? » J’ai répondu : « Ouais, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » Il a souri. Nous devions chercher les ordinateurs.

«J’étais sous le choc. Nous étions vivants. Nous avons récupéré ses affaires et foutu le camp »a-t-il révélé.

Par ailleurs, le médecin pakistanais Shakil Afridi, qui aurait aidé la CIA à suivre la piste du terroriste numéro un et dont la libération a été promise par Donald Trump, ne sera pas livré aux États-Unis, a annoncé ce jeudi Mohammad Faisal, porte-parole du ministère pakistanais des Affaires étrangères.

Le département d’État américain avait précédemment déclaré que Washington était au courant du transfert de Shakil Afridi de la prison de Peshawar vers un autre lieu de détention après que les services de renseignement pakistanais ont été informés d’un éventuel projet d’évasion.

Traduit par: Rachel Hamdi

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