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Bedjaoui touchait 3% pour chaque transaction entre Saipem et Sonatrach !

الشروق أونلاين
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Bedjaoui touchait 3% pour chaque transaction entre Saipem et Sonatrach !

Les investigations menées par la justice italienne sur le scandale «Eni-Sonatrach» ont révélé de nouveaux détails sur les pots-de-vin que recevait Farid Bedjaoui lors des marchés que Saipem avait décrochés en Algérie.

La revue «Jeune Afrique» a mentionné dans son édition de jeudi des détails des transactions avec des chiffres, dont Farid Bedjaoui, neveu de l’ancien ministre des Affaires étrangères, était le médiateur. Ses liens étroits avec l’ancien ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil auraient nettement profité à des compagnies étrangères ayant décroché de nombreux marchés en Algérie.

Selon la même source, l’énigme de Farid Bedjaoui poursuivi aussi bien la justice italienne qu’algérienne dans le scandale «Sonatrach II» n’est toujours pas résolu. La justice italienne s’efforce d’identifier les personnalités politiques ayant tiré profit du «scandale de corruption Sonatrach», surtout après les résultats des enquêtes ayant révélé que Bedjaoui aurait signé en 2007 un contrat avec Saipem  lui accordant un taux de 3% pour chaque contrat ou projet que cette dernière décroche en Algérie.

Après une première entrevue en 2002 avec Chakib Khelil au Liban, le neveu de Mohamed Bedjaoui a resserré fortement ses liens avec Khelil, lui qui aurait joué en faveur des Chinois ayant aussi obtenu le projet de réalisation de l’autoroute Est-Ouest pour un coût de 6.2 milliards de dollars, dont lui en a touché des millions de dollars.

Outre Saipem, Bedjaoui a, selon des sources proches de l’enquête italienne, été de la partie lors des négociations engagées pour l’édification de l’ambassade d’Algérie a Pékin, comme il entretient de bonnes relations avec la société canadienne «SNC Lavalin».

De 2007 à 2009, Saipem a réussi à obtenir 7 contrats conclus avec Sonatrach pour une valeur de 8 milliards d’euros, dont la société «Pearl Partners Limited», sise à Hong-Kong et contrôlée par Bedjaoui a reçu des commissions estimées à 189 millions d’euros, versées dans ses comptes en Europe et en Asie.  

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Commentaires
5
  • IBNOU ZEKRI

    on dit que dérriére des visages innocents se cachent les crimes les plus horribles...ainsi va le monde des humains. Le monde des djinnes parait il est plus cruel. .maudits soient ils

  • l ´opulence des drogués

    On dit que derrière chaque homme d ´affaire ,industriels ,Dg,il y a un poteaux qui décide ,pour éliminer un intrus ,le poteaux lance des investigations pour lui monter un dossier ,donc il est suivi (femmes ,alcool ,blocages des fois par ses meilleurs amis ).a quand la fin des poteaux pour laisser respirer les Algériens (nes) l oxygène de la liberté chèrement acquise .

  • abdelkaderdedramchi

    c'est l'equivalent de 30 tonnes de feu de l'enfer qu'il s'en soucie devant la mediocrité du travail qui lui a été confié nul rescapé du dajjal parmi les corronpus.

  • L olympe des infortunes

    C est rien 3% pour un apporteur d ´affaire ou de consultant ,en plus il habite loin donc il gêne pas ,il est intelligent ,démarrer petit et allez vite pour monter plus haut ,hisser le pays avec une corde solide ....pour ne pas retomber aie hop hop hip hop .

  • DZ

    Il sert à quoi ce réchauffé? Tout le monde sait que ce bled carrément mis à genoux est géré dans le contexte voulu et entretenu de «Hami’ha Hara’miha». Tayeb Louh n’a pas été nommé illico presto pour des prunes. Il fut chargé de diluer au plus vite ce dossier (et bien d’autres évidemment) étant donné l’implication directe de Chakib Khelil, et par-delà le clan présidentiel auquel il a avoué ouvertement appartenir. Le reste c’est du bla bla…. hatta ifarraj rabbi.