La Cour d’Alger se prononce en faveur de la libération de Karim Tabbou
La Cour d’Alger a statué jeudi en faveur de la libération provisoire de l’activiste politique Karim Tabbou à la demande de sa défense.
Le président de l’Union démocratique et social (UDS) – non agréé- a été condamné à une année de prison ferme pour atteinte au moral de l’Armée.
Le chef de l’Etat avait, faut-il le rappeler, décrété mercredi une grâce présidentielle au profit de certains détenus arrêtés lors des manifestations populaires (Hirak).
Bien que le nom de Karim Tabbou ne figure pas sur la liste des détenus touchés par cette grâce, certains médias ont indiqué qu’il serait remis en liberté.
Sofiane Djilali, président de Jil Jadid avait, lui-aussi, déclaré à la mi-mai au lendemain d’une entrevue que lui avait accordée le président Tebboune que Karim Tabbou et Samir Belarbi seraient libérés.