Le producteur Nasser Yahmi à Echoroukonline : La série humoristique « le Branché » devrait être diffusée durant ce mois sacré

Nasser Yahmi diplômé de l’EICAR Paris (Ecole Internationale de la Création Artistique et de Réalisation). Nasser a, d’abord, travaillé en France avant de rentrer en Algérie pour s’installer en tant que producteur de programmes pour la télévision. Dans cet entretien, il évoque ses différentes réalisations notamment pour la télévision algérienne.

• Echoroukonline : Pour commencer, parlez-nous un peu de vos réalisations ?
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• Nasser Yahmi : On vient de réaliser un sitcom pour l’ENTV, une série humoristique de 12 épisodes appelée « Le Branché », et « Madjnoune El telfaza ». Ce programme, nous l’avons remis à la télévision mais il n’a toujours pas été diffusé. Ce qui est bien dommage ! Ce sitcom qui aurait dû être diffusé durant ce mois sacré aurait été,  d’après moi,   une réussite très appréciée par les téléspectateurs. On nous a pourtant précisé que cette série sera diffusée durant la deuxième quinzaine du mois de Ramadhan. On espère que cela se fera !
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• Echoroukonline : Peut-on connaître vos réalisations jusqu’à ce jour ?
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• Nasser Yahmi : Pour les films, j’en ai réalisé trois. Trois documentaires, l’un sur Tipaza, site du patrimoine mondial, le deuxième sur les richesses patrimoniales de l’Ahaggar et le troisième enfin sur le  Sahara à Alger. Actuellement, je travaille sur un documentaire qui sera diffusé Inchallah le mois de novembre prochain. En effet, je travaille actuellement avec 18 géologues (entre Français et Algériens).
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• Echoroukonline : Quels sont les problèmes que rencontre un producteur ?
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• Nasser Yahmi : Nous n’avons pas de problèmes avec la télévision.  Je voudrais souligner aussi que les scénarios d’aujourd’hui ne sont pas du tout intéressants. Ils le sont d’autant moins qu’ils passent par la commission de lecture de la télévision ou celle du ministère de la culture. Je n’ai pas vu pour le moment un scénario qui dépasse 30 séries.
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• Echoroukonline : On dirait que tous les producteurs se bousculent pour que leurs programmes soient diffusés durant le mois de Ramadhan. Pourquoi ?
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• Nasser Yahmi : Les producteurs considèrent le mois de Ramadhan comme leur festival national. Si un producteur a une chance de voir son travail diffusé à la télévision nationale  c’est bien au cours  de ce mois sacré durant lequel les producteurs se bousculent comme vous le soulignez.
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• Echoroukonline : Quels sont vos projets d’avenir :
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• Nasser Yahmi : Je dois finir mon travail sur la géologie. J’ai un projet d’une émission culturelle, divertissante et éducative. Cette émission où il y aura également de la musique se propose d’aller à la découverte de d’un village algérien. Ce sera, en définitive, une découverte de l’ « Algérie Profonde. »
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