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Un pseudo avocat canadien escroque des algériens en quête d'immigration

Un pseudo avocat canadien escroque des algériens en quête d'immigration

Le tribunal de Sidi M’hamed à Alger tranchera le 7 avril prochain dans l’affaire d’un avocat canadien qui avait un bureau de consulting et d’immigration au Canada, et qui est accusé d’avoir escroqué plus de 15 citoyens Algériens désirant immigrer dans ce pays.

  • Selon les témoignages des victimes, il  leur aurait saisi des sommes en devises depuis 2004, avant de disparaître. Il aurait même déposé plainte contre une de ses « victimes » accusant la femme de ce dernier de diffamation. Cerise sur le gâteau : aucune des victimes ne connaît cet avocat parce qu’aucune d’entre elles ne s’est entretenu avec lui, car c’est la secrétaire de ce dernier qui recevait les citoyens.
  • La question qui se pose donc : est ce que l’avocat Martin Patris est une personnes réelle où virtuelle.
  • Une des victimes explique avoir lu plusieurs annonces dans des quotidiens nationaux sur l’existence de ce bureau d’immigration agréé par l’Etat et la fédération canadienne et  géré par un avocat.
  • Il s’est alors rendu dans le bureau de l’avocat en compagnie de sa femme, pour découvrir de nombreux “clients” dans le bureau et qui étaient reçu par la secrétaire algérienne de l’avocat qui elle parlait français. La secrétaire leur demandera de remplir des formulaires contre une somme de 7000 dinars et leur a assuré une réponse par voie postale en moins d’un mois.
  • Il ajoutera que l’avocat prenait les sommes en devises équivalentes à 20 à 40 millions de centimes. Malheureusement les réponses qui ont été réceptionnées par les victimes étaient négatives sous prétexte qu’ils ne remplissaient pas les conditions. Il sont alors retournés auprès du bureau en question, pour trouver la porte fermée, ce qui les a poussé à dénoncer ces pratiques frauduleuses dans un quotidien national. C’est par la suite que la femme de la victime a été convoquée par le bureau et accusée de diffamation. Une enquête a été ouverte par la suite. Depuis 2004 , le dossier est resté ouvert à ce jour.
  • Les autres victimes qui ont lu les articles dénonçant ces agissements dans la presse ont contacté  la femme en question, pour déposer en groupe une plainte auprès du tribunal de Sidi M’hamed en 2005.
  • Il est à signaler que plusieurs bureaux similaires existent toujours au niveau de la capitale.
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