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Les marchandises contrefaites font perdre à l’Algérie 22500 milliards

Les marchandises contrefaites font perdre à l’Algérie 22500 milliards

Ainsi, l’Algérie honore son engagement dans la lutte contre la fraude et la contrefaçon dans tous les secteurs d’activité. Mohamed Ben Meradi, a par ailleurs, expliqué lors des travaux de la rencontre internationale sur « la propriété industrielle et son impact sur le développement économique ».

  • Le ministre de l’industrie, des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l’investissement, Mohamed Ben Meradi a déclaré dimanche que l’Algérie honore toutes les conventions internationales liées à la protection de la propriété industrielle. Il a rappelé, à ce propos, que l’Algérie a adhéré depuis 1975 à l’organisation mondiale de la propriété intellectuelle, après avoir ratifié toutes les conventions internationales. Ainsi, l’Algérie honore son engagement dans la lutte contre la fraude et la contrefaçon dans tous les secteurs d’activité. Mohamed Ben Meradi, a par ailleurs, expliqué lors des travaux de la rencontre internationale sur « la propriété industrielle et son impact sur le développement économique », que les lois et les législations actualisées pour s’adapter à l’ouverture économique, garantissent la protection des marque déposées. Les recours à la fraude et à la contrefaçon industrielles causent de grandes pertes à beaucoup de pays, y compris l’Algérie. En effet, cette dernière perd annuellement plus de trois (3) milliards de dollars, soit 22500 milliards de centimes. En l’absence de vraies d’expertises nationales dans le domaine de la normalisation, les marchandises non conformes et les produits contrefaits continuent de circuler librement sur le marché national. L’expert Abdelkarim Mokrani de l’Organisme Algérien d’Accréditation (ALGERAC) a indiqué dans une déclaration au journal « Echorouk » que « la principale problématique dont souffre l’Algérie est l’absence de laboratoires agréés qui auraient permis à tous les secteurs publics ou privés de contrôler les produits importés ». Il a ajouté, que l’ALGERAC, créée en 2006, contrôle actuellement 45 entreprises et institutions algériennes. A l’horizon 2012, il sera capable de mettre en place les moyens nécessaires pour le contrôle de la qualité.
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