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Dangereux développements de l’affaire de l’assassinat de l’officier de police Chérifa : le corps de la défunte exhumé pour une nouvelle autopsie

الشروق أونلاين
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Dangereux développements de l’affaire de l’assassinat de l’officier de police Chérifa : le corps de la défunte exhumé pour une nouvelle autopsie

L’affaire de l’assassinat de l’officier de police, Hadj Brahim Chérifa, va de rebondissement en rebondissement. En effet, le procureur de la République auprès du tribunal d’Adrar vient d’ordonner l'exhumation de la défunte, enterrée, on s’en souvient, un jour seulement après son assassinat, pour autopsie.

 

  • Pour le procureur de la République, il s’agit de faire de nouveaux prélèvements sur les ongles de Chérifa, et voir si des traces ou des indices subsistent encore sur ses ongles, après avoir découvert sur la poitrine du principal mis en cause, l’officier de police Abdelkader, des traces de griffures.
  • Alors qu’on s’attend à la présentation de l’officier, qui a été mis sous mandat de dépôt il y a quatre jours, devant le procureur de la République du Tribunal de Timimoun, à 200 kilomètres au nord d’Adrar, une équipe d’experts en relevé d’indices a réquisitionné le véhicule de l’officier mis en cause, une Chevrolet, aux fins d’en prélever toute trace pouvant faire avancer l’enquête.
  • Durant sa première audition, l’officier a catégoriquement nié être impliqué dans cet assassinat, affirmant être cette nuit-là, en compagnie d’un homme d’affaire de la ville en train de « vider des bouteilles », affirmation que l’homme d’affaires rejeta en bloc lors de son audition devant le juge instructeur. L’officier devait aussi répondre aux questions des enquêteurs à propos de son empressement à partir laver sa voiture aussitôt l’assassinat de Chérifa ébruité.
  • Le père de la victime, un policier à la retraite, est parti à Alger, à la Direction générale de la Sûreté nationale, exiger des explications à propos du travail exact que sa défunte fille menait, et exigeait aussi que le ou les assassins soient sévèrement punis. Pendant ce temps, sa sœur, auditionnée par le juge instructeur, affirmait que Chérifa avait de bons rapports avec l’officier mis en cause, et que celui-ci avait l’habitude de la conduire de chez elle à son travail de façon régulière.
  • Les enquêteurs ont tenu des séances de travail aussi bien avec le procureur de la République qu’avec le commissaire principal, affichant leur étonnement à propos de l’enterrement de Chérifa une journée seulement après son assassinat.
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