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Farouk Ksentini appelle les ONG à s’excuser pour le mal qu’elles ont fait à l’Algérie dans les années 90

الشروق أونلاين
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Farouk Ksentini appelle les ONG à s’excuser pour le mal qu’elles ont fait à l’Algérie dans les années 90

Le président de la commission consultative pour la promotion des droits de l’homme, Mustapha Farouk Ksentini, a appelé les organisations non gouvernementales qui avaient nuit à l’Algérie dans les années quatre vingt dix (1990) à présenter des excuses sur ce qu’elles ont fait, réfutant l’idée indiquant que ces organisations auront l’accord pour visiter l’Algérie durant le mois de septembre prochain pour s’informer sur la situation des droits de l’homme.

  • Ksentini a déclaré lors du forum d’El Moudjahid que quelques organisations non gouvernementales soutenaient le terrorisme et accusaient l’Etat d’antidémocrate. Elles avaient aussi tout fait pour ternir l’image de l’Algérie au moment où elle luttait contre le terrorisme. Ksentini a affirmé que ces organisations ne sont pas convoquées, et qu’elles doivent d’abord présenter des excuses pour tout le mal qu’elles ont causé à l’Algérie.
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  • Il est prévu que l’Algérie accueille, à partir du mois de septembre prochain, un nombre d’organisations gouvernementales afin de s’informer sur la situation des droits de l’homme en Algérie, notamment en ce qui concerne la part de l’individu en éducation, la santé le logement et l’alimentation. Ces organisations représentent un groupe de nations, en l’occurrence le Maroc, la France, l’Espagne, l’Italie, L’Angleterre et la Canada. Les membres de la commission des nations Unies des droits de l’homme ont aussi été convoqués afin d’enquêter sur l’existence de la violence contre la femme.
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  • Evoquant le dossier des disparus, Ksentini a réfuté en bloc de parler de jugement des personnes qui étaient derrière les événements tragiques vécus par l’Algérie durant les années 90, justifiant que la charte de la réconciliation nationale qui a été votée à hauteur de 85 % des électeurs avait réglé ce dossier définitivement. Les propos de Ksentini ont été soutenus par Merouane Azzi, président de la commission du suivi de l’application, de la charte de la paix, déclarant que le nombre de disparus a atteint 6541 personnes, et que des jugements de décès ont été prononcés sur ces personnes, et que leurs parents ont reçu les indemnités décidées par l’Etat. Il a poursuivi que le travail est toujours en cours sur les 124 dossiers qui restent, alors que 12 dossiers sont toujours en suspend à cause de l’insistance des familles à connaître la vérité.
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