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Un intermédiaire malien confirme : « Les otages sont en vie et Sarkozy cherche coûte que coûte la négociation au risque de mettre en colère Alger »

الشروق أونلاين
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Un intermédiaire malien confirme : « Les otages sont en vie et Sarkozy cherche coûte que coûte la négociation au risque de mettre en colère Alger »

Cette nouvelle « tombe » au moment même ou Alger, qui a réuni à Tamanrasset, les chefs d’état-major de Bamako, de Niamey et de Nouakchott, a montré tous les signes d’une colère difficilement retenue contre des pays du Sahel engagé par des accords militaires et sécuritaires pour endiguer le fléau terroriste, mais, qui, en sous-sol, négocient avec les preneurs d’otages et ouvrent toutes grandes leurs portes aux puissances étragères, au risque de mettre à feu et à sang toute la triple région maghrébo-saharo-sahélienne.

 

  • Pour Paris, les otages sont en vie. Une nouvelle preuve est venue cette fois-ci de la part des négociateurs maliens eux-mêmes, dont au moins un Malien impliqué dans les négociations pour la libération des cinq otages français détenus au nord-Mali, qui les a vus vivants et en bonne santé. Cette déclaration confirme des informations déjà données par le président Nicolas Sarkozy sur le sort des otages. « Nous avons toutes les raisons de penser que les otages sont en vie », avait confirmé l’Elysée. « Les pourparlers ne sont pas engagés mais nous sommes ouverts à toute conversation. Nous sommes prêts à discuter avec les ravisseurs », a précisé l’Elysée.
  • Cette nouvelle « tombe » au moment même ou Alger, qui a réuni à Tamanrasset, les chefs d’état-major de Bamako, de Niamey et de Nouakchott, a montré tous les signes d’une colère difficilement contenue contre des pays du Sahel engagés par des accords militaires et sécuritaires pour endiguer le fléau terroriste, mais, qui, en sous-sol, négocient avec les preneurs d’otages et ouvrent toutes grandes leurs portes aux puissances étragères, au risque de mettre à feu et à sang toute la triple région maghrébo-saharo-sahélienne.
  • « Les otages sont détenus entre les déserts malien et algérien, dans une zone communément appelée le Timétrine », une région de collines désertiques du nord-est du Mali, à une centaine de km de la frontière algérienne, ajoute cette source malienne sous couvert d’anonymat.
  • En appelant à une réunion d’urgence, l’Algérie cherche à relever le niveau de cette coopération entre les pays du Sahel, lesquels, pour des raisons différentes, « cherchent la facilité », soit par des interventions occidentales directes dans la région, soit par des aides financières, mais dont l’action contre AQMI reste toujours au point mort. De ce fait, les accords de coopération signés et le travail de terrain restent souvent figés, ou n’avancent que très lentement, alors qu’AQMI va très vite sur tous les plans.
  • Pour Gaid-Salah, « il s’agit vite de trouver la riposte à l’expansion du terrorisme et du crime organisé, d’échanger les informations et les expériences, d’évaluer les actions à prendre et à réaliser sur le terrain et faire en sorte que la sécurité revienne, car notre objectif principal reste l’éradication du terrorisme », et de ce fait, « aboutir à des résultats concrets et palpables sur le terrain ».
  • La région saharo-sahélienne connaît outre le problème terroriste, une prolifération des bandes organisées, des réseaux de contrebandiers et de cigarettiers de tous bords

 

 

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