Mosquée de Marseille : turbulences en coulisses pendant le gel par l'Algérie du financement promis

Cette dernière affaire risque en effet de venir compliquer un peu plus la situation de la construction de la Mosquée, en tous cas de lui faire perdre plus de temps que prévu par rapport au programme élaboré.

• En plus du recours déposé par Nourredine Cheikh, président déchu de l’association de la Mosquée de Marseille qui revendique devant le Tribunal l’annulation de nouvelles élections au sein de l’association, une autre affaire celle là, est auprès du Tribunal administratif, à propos de l’annulation du permis de construire demandé par le rapporteur public pour complément d’informations réclamé par le Président du Tribunal Administratif .Cette dernière affaire risque en effet de venir compliquer un peu plus la situation de la construction de la Mosquée,  en tous cas de lui faire perdre plus de temps que prévu par rapport au programme élaboré. On connaissait depuis les conflits qui gangrènent l’association particulièrement liés à cette élection, mais d’ores et déjà se profile à l’horizon la question cruciale de l’apport de 22millions d’euros manquants et combien nécessaires à la construction de cet édifice.
• L’Algérie ayant déclaré récemment geler son financement, les autres pays donateurs sollicités n’ont procédé à aucune participation à ce jour, hormis les particuliers annoncés par l’imam Abderrahmane Ghoul lui-même et actuel Président de la Mosquée. Le temps presse et l’association doit faire face à des dépenses urgentes comme le loyer dû annuellement de 25.000 euros. Mais aujourd’hui son budget n’étant pas fructueux, on se demande alors qui va devoir payer et où trouver les financements indispensables et promis par l’association en présence. La question reste posée…