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Berlin, Madrid et Lisbonne appellent a voter Macron

Echoroukonline
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Berlin, Madrid et Lisbonne appellent a voter Macron
D.R

Dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde, António Costa, Pedro Sanchez et Olaf Scholz, respectivement chefs de gouvernement du Portugal, de l’Espagne et de l’Allemagne, appellent implicitement les Français a voter pour Emmanuel Macron le 24 avril.

Les trois dirigeants européens mettent d’abord en garde contre les risques que ferait peser une présidente de la République française issue des rangs de l’extrême droite, selon BFMTV citant Le Monde.

L’élection du 24 avril est “le choix entre un candidat démocrate, (…) et une candidate d’extrême droite, qui se range ouvertement du côté de ceux qui attaquent notre liberté et notre démocratie”, proclament-ils.

Puis évoquant implicitement la candidature d’Emmanuel Macron, ils indiquent en conclusion: “nous espérons que les citoyens de la République française la choisiront”.

Mélenchon agacé: “Macron ne sait pas tenir sa langue”

Jean-Luc Mélenchon est furieux contre Emmanuel Macron après ses propos tenus récemment et qui laissent entendre que le premier aurait négocié avec lui.

Il aura été le troisième homme de l’élection présidentielle française en récoltant 21,95% des voix lors du premier tour qui s’est tenu le 10 avril dernier.

Alors que le second tour se tiendra ce dimanche 24 avril, Jean-Luc Mélenchon a accordé une interview a BFM TV ce mardi 19 avril. Lors de cet entretien, il a notamment évoqué les élections législatives a venir, où il espère voir l’Union Populaire obtenir d’excellents résultats. Un scénario qui selon lui obligerait le Chef de l’Etat a compter sur lui dans son gouvernement: “Je demande aux Français de m’élire Premier ministre. (…) J’appelle tous ceux qui veulent rejoindre l’Union populaire a nous rejoindre pour cette belle bataille”, a-t-il lancé.

Lors de cette interview, Jean-Luc Mélenchon a également tenu a faire une mise au point suite aux propos d’Emmanuel Macron a son égard. Au lendemain du premier tour, l’actuel président de la République avait affirmé avoir des échanges avec le candidat de l’Union Populaire. Une sortie médiatique qui n’a visiblement pas plu au principal intéressé.

“Si on a eu un échange par SMS, c’est entre lui et moi. J’aimerais bien savoir pourquoi il me fait la leçon… Moi, je ne raconte pas ma vie. Oui, j’ai été en contact avec Emmanuel Macron pour essayer de tirer d’affaire quelqu’un qui court un très grand danger de mort a l’étranger. Et j’ai reçu de sa part les meilleures réponses. Et le travail a été fait (…) Pour le reste, je crois qu’il m’a appelé l’autre jour pour me dire: ‘Si vous voulez parler’. Non, je ne veux pas parler puisqu’il ne sait pas tenir sa langue. Il va faire croire a tout le monde que je suis en train de négocier. Je ne négocie rien avec monsieur Macron. Je n’en ai rien a faire, je ne veux pas parler avec lui”, a-t-il laché, très agacé.

Accusé d’évasion fiscale, Macron soutenu par Rotschild & Co

Accusé de cacher de l’argent dans un paradis fiscal, Emmanuel Macron vient d’obtenir le soutien public de la banque Rotschild & Co, qui dément les allégations.

Dans un communiqué publié jeudi 31 mars, Rothschild and Co a “démenti formellement” que “les banquiers en France seraient rémunérés a l’étranger”. Ces déclarations répondent a l’enquête du site Off Investigation sur le patrimoine d’Emmanuel Macron, affirmant que les associés gérants seraient partiellement payés dans des paradis fiscaux, a rapporté Le Point. “Les banquiers en France sont rémunérés en France”, a insisté la banque d’affaires, qui a eu comme associé-gérant le chef de l’Etat.

Un proche du président candidat avait dénoncé mercredi des “boules puantes” de fin de campagne, visant notamment une enquête du site Off Investigation publiée mardi soir qui s’interroge sur le patrimoine d’Emmanuel Macron. Dans cette enquête, une “personnalité”  présentée comme “proche” de la banque Rothschild assure sous le couvert de l’anonymat que ses associés gérants sont payés partiellement dans des paradis fiscaux.

“Il n’existe aucun rescrit fiscal [accord entre l’administration et une entreprise, NDLR] entre Bercy et la banque Rothschild pour défiscaliser hors de France les honoraires des associés gérants”, a lui aussi affirmé a l’AFP le ministère de l’Economie et des Finances. “Pas de fraude, pas de faits, pas de preuve”, a, elle, réagi l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron.

Ukraine: Macron prend ses distances de Biden

Le président français Emmanuel Macron a mis en garde dimanche contre une “escalade des mots et des actions en Ukraine”, après les propos du président américain Joe Biden, qui a traité le président russe Vladimir Poutine de “boucher”.

“Je n’utiliserais pas ce genre de propos parce que je continue de discuter avec le président Poutine”, a déclaré le candidat président sur France 3.

Il était interrogé sur les fortes déclarations de Joe Biden la veille a Varsovie, qui a traité M. Poutine de “boucher” pour les crimes commis selon lui par l’armée russe en Ukraine, et qui a qualifié la guerre dans ce pays d'”échec stratégique pour la Russie”.

“Nous voulons arrêter la guerre que la Russie a lancée en Ukraine sans faire la guerre. C’est l’objectif” et “si on veut faire cela, il ne faut pas être dans l’escalade ni des mots ni des actions”, a estimé Emmanuel Macron, selon France 24.

“Nous ne devons pas, nous Européens, céder a quelque escalade. Nous ne devons pas, nous Européens, oublier notre géographie et notre histoire. Nous ne sommes pas en guerre avec le peuple russe”, a-t-il insisté, en soulignant que l’Europe n’était plus dans le contexte de “la Guerre froide” entre Moscou et Washington.

Le candidat président a par ailleurs indiqué qu’il parlerait au président russe “demain (lundi) ou après-demain (mardi)” pour organiser une opération d’évacuation d’habitants de la ville de Marioupol, dans l’est de l’Ukraine, soumis a un siège et a des bombardements depuis des semaines.

Mettant en garde contre “le cynisme de la partie russe” sur le sujet, Emmanuel Macron a souligné qu’il y avait “un droit humanitaire international”, que “nous entendons faire respecter”. “Cela ne doit pas être une opération humanitaire a la main de la Russie”, a-t-il averti.

Présidentielle française: l’état de santé de Macron inquiète!

Avec un agenda politique très chargé, Emmanuel Macron commence a montrer des signes d’épuisement. Un proche du président français se confie ce vendredi sur son état de santé inquiétant.

Emmanuel Macron n’a pas le temps de penser a ses prochaines vacances. Le président de la République est en effet sur tous les fronts. Il doit assurer d’un côté sa campagne électorale depuis l’annonce de sa candidature le 3 mars dernier, enchaîner les réunions de crise face a l’invasion de l’Ukraine par les troupes de Vladimir Poutine et assurer la fin de son mandat jusqu’au 24 avril prochain. Macron, victime de surmenage? Nous n’en sommes pas loin. Le stress de ces dernières semaines commencerait a affecter l’état de santé du président sortant, selon Closer.

Un proche d’Emmanuel Macron révèle ainsi que le président, épuisé par son rythme de travail, peine a s’engager pleinement dans sa campagne. «Le président est physiquement très fatigué et psychologiquement, il n’a pas envie de s’y coller ça se voit. Il n’est pas bien en ce moment, il a plus de questions que de réponses», témoigne-t-il en gardant son anonymat. Des propos que confirment les rares apparitions du candidat Macron ces vingt derniers jours. L’ancien ministre de l’Economie de François Hollande s’est pour l’heure contenté de conversations très «cadrées» avec des Français, de trois passages a la télévision en plus d’une conférence de presse au cours de laquelle il a présenté son programme.

Emmanuel Macron, proche du burn-out?

Emmanuel Macron «avait prévu plus de temps de conversation avec les Français. Mais il est empêché», confie un représentant de la majorité. On s’attendait a le voir «aller a la rencontre des Français, ne pas se laisser enfermer dans la guerre en Ukraine» ajoute l’un de ses conseillers. La guerre en Ukraine en a décidé autrement. L’équipe d’Emmanuel Macron assure que la véritable «campagne de terrain» du candidat a l’élection présidentielle commencera bien dès la semaine prochaine. En attendant de le croiser sur les marchés, il investit YouTube chaque vendredi a 18h avec un format intitulé “Le candidat” consacré aux coulisses de sa conférence de presse et a ses conversations avec ses soutiens dans son QG. Un «récit hebdomadaire plus glaçant que rassurant », selon L’Opinion.

Présidentielle française: Brigitte Bardot optera pour ce candidat!

Elle fut l’une des supporters de la première heure du polémiste Eric Zemmour pour la présidentielle de 2022, avant même que l’éditorialiste ne change de casquette pour se lancer dans la course a l’Elysée.

Mais Brigitte Bardot n’a pas franchement apprécié les derniers propos qu’a tenus le fondateur du parti Reconquête, selon Télé 7 jours .

L’ex actrice qui consacre sa vie a la cause animale a été écœurée par ses engagements en faveur des chasseurs. Elle lui a ainsi trouvé “Un cœur sec et indifférent a la souffrance qu’elle soit humaine ou animale”. Et avec de telles idées, BB juge qu’on “ne peut sauver la France, ni en être Président”.

C’est pourquoi elle s’est trouvé un nouveau champion, pour le 10 avril prochain. Brigitte Bardot a affirmé son soutien sur Twitter le dimanche 20 mars 2022 a celui qui est a la peine dans les sondages (depuis quelques scrutins déja): Nicolas Dupont-Aignan.

A propos du président de Debout la France, elle explique: “C’est un grand défenseur des animaux”. Et de faire notamment référence dans son programme a son projet de mettre en place la vidéosurveillance dans les abattoirs, d’interdire l’abattage sans étourdissement, tout en créant un label “bien-être animal”.

Engagée auprès de l’homme politique de droite, la star de “Et Dieu créa la femme” a par ailleurs déploré, ce dimanche sur la Toile: “Nicolas Dupont-Aignan mériterait plus de temps de parole a la télévision parce que son programme politique pour la France est très bon. Il est injuste qu’il soit autant oublié par les médias”.

Gérard Larcher s’interroge sur la “légitimité” de Macron en cas de réélection sans campagne

«S’il n’y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera», a averti le président Les Républicains du Sénat français Gérald Larcher en faisant bien entendu allusion au président sortant Emmanuel Macron.

Dans une interview accordée au Figaro publiée mardi 15 mars, Gérard Larcher, le président Les Républicains (LR) du Sénat a déploré la stratégie du président candidat, accusé de vouloir « enjamber la présidentielle ».

Larcher lance: «Le président de la République veut être réélu sans jamais avoir été réellement candidat, sans campagne, sans débat, sans confrontation d’idées. Tous les candidats débattent sauf lui. C’est un paradoxe!», peut-on lire dans les colonnes du Monde.

Il affirme notamment, au sujet d’Emmanuel Macron, qu’«être en tête dans les sondages n’est pas une raison suffisante pour enjamber l’élection et considérer que ce scrutin n’est qu’une formalité, ne serait-ce que par respect de la démocratie».

S’il reconnaît que, face a la guerre en Ukraine, «il ne peut pas y avoir d’autre réaction que l’unité nationale et européenne», ce soutien de Valérie Pécresse met tout de même en garde sur le fait que « le rendez-vous démocratique [de l’élection présidentielle] ne peut pas être occulté ». «S’il n’y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera», poursuit-il.

Alors qu’aucun président de la République sortant n’a accepté de débattre avant le premier tour avec ses concurrents, y compris Nicolas Sarkozy, il rétorque: «Mais étions-nous dans la même situation qu’aujourd’hui? Au moment où un appel a l’unité du pays s’impose, il est impossible de museler le débat démocratique. Il est important, au contraire, de retrouver un équilibre et des règles.» Dans une interview accordée le 1er mars a Europe 1, Gérard Larcher tenait le même discours d’alerte. «S’il n’y a pas de débat, s’il n’y a pas de bilan, de projet, imaginons le président de la République réélu, alors ce sera dans une forme d’omission de débat démocratique, avec un risque» sur la «légitimité au cours du mandat», avait averti le président LR du Sénat.

L’exécutif se veut rassurant

«On fait tout pour qu’il y ait une campagne», a réagi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, sur France 2, rappelant qu’Emmanuel Macron doit présenter jeudi lors d’une conférence de presse «de trois heures» son projet pour un second quinquennat.

«Dès lors qu’il le peut», le chef de l’Etat «participe a cette campagne», a-t-il affirmé, «mais moi, je n’entends pas des Français lui demander de déserter ses fonctions de président a un moment où, on le voit dans l’actualité, évidemment on a besoin d’un président qui continue a agir et a protéger les Français». Julien Denormandie, le ministre de l’agriculture et homme fort de la campagne du président, est aussi monté au créneau. Il a dénoncé au micro de France Inter dans la matinée des «propos irresponsables» du président du Sénat, arguant que ce dernier, «garant de notre démocratie», fait «courir une petite musique qui serait un procès en illégitimité dans le cas où le président de la République actuel serait réélu, au motif que la campagne n’aurait pas été suffisamment faite».

Découvrez les 12 candidats a la présidentielle française

Le Conseil constitutionnel français a dévoilé, lundi midi, la liste officielle des candidats a l’élection présidentielle.

Avec Philippe Poutou, ils sont finalement douze a avoir obtenu leurs 500 parrainages, selon France 24.

Ils seront finalement douze candidats a avoir un bulletin de vote a leur nom, le 10 avril, lors du premier tour de l’élection présidentielle. Le président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, a dévoilé, lundi 7 mars, la liste officielle des candidats ayant obtenu leurs 500 parrainages d’élus nécessaires pour entrer dans la course a l’Elysée.

Les électeurs auront donc le choix entre douze candidats:

1- Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière),

2- Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France),

3- Anne Hidalgo (Parti socialiste),

4- Yannick Jadot (Europe Ecologie-Les Verts),

5- Jean Lassalle (Résistons!),

6- Marine Le Pen (Rassemblement national),

7- Emmanuel Macron (La République en marche),

8- Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise),

9- Valérie Pécresse (Les Républicains),

10- Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste),

11- Fabien Roussel (Parti communiste)

12- Eric Zemmour (Reconquête !).

Il reste désormais un peu peu plus d’un mois a ces derniers pour convaincre.

Aux onze noms déja connus lors du dernier décompte publié le 3 mars s’est ajouté, lundi, celui de Philippe Poutou. Le candidat du NPA, déja présent en 2012 et en 2017 et a qui il manquait encore 61 signatures jeudi soir, est finalement parvenu a les obtenir in extremis.

Laurent Fabius a précisé avoir reçu au total 13 672 parrainages d’élus, dont 13 427 ont été validés. Le Conseil constitutionnel s’est par ailleurs assuré du “consentement” des candidats a participer a l’élection, qui se déroulera les 10 et 24 avril, et a “constaté” le dépôt d’une déclaration de patrimoine et d’une autre d’intérêts et d’activité.

Onze candidats avaient pu se présenter en 2017, dix en 2012, douze en 2007 et seize – un record sous la Ve République – en 2002.

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