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Banque mondiale

Un ami proche du prince marocain derrière le rapport erroné sur l’Algérie

Echoroukonline
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Un ami proche du prince marocain derrière le rapport erroné sur l’Algérie
D.R

Le rédacteur du rapport erroné de la Banque Mondiale sur l’Algérie n’est autre que le Tunisien, Farid Belhadj, un ami proche du prince marocain. 

Les informations qui ont servi a la Banque Mondial  pour établir son rapport sur l’Algérie, sortiraient de l’imagination d’un affabulateur qui a pour nom Farid Belhadj, vice-président de la Banque Mondiale en charge de la région MENA, qui est le rédacteur de ce rapport tendancieux.

Beaucoup a été dit et écrit sur le caractère mensonger de ce rapport. Mais la preuve définitive a été communiquée par des amis français de l’Algérie. Ce rapport aurait été réalisé sur orientation du palais royal marocain.   Farid Belhadj, qui est de nationalité tunisienne, avait occupé le poste de chef de cabinet du président de la Banque Mondiale, est un ami proche du prince du Maroc, Moulay Rachid et de nombreux ministres marocains.

Ce douteux personnage, mal sain est entré a la Banque Mondiale en 1996 en qualité de conseiller juridique, notamment pour le Maroc, l’Egypte, l’Iran, l’Algérie et la Thaïlande. De 2002 a 2007, il a été responsable des opérations de la Banque Mondiale pour le Maroc, ce qui justifie toute sa haine envers l’Algérie.

De 2007 a 2010, il a été représentant spécial de la Banque Mondiale auprès de l’ONU a New York avant d’être promu en 2010 directeur de la région pacifique, poste qu’il quitte en 2012 pour diriger depuis Beyrouth les activités de la Banque Mondiale au Liban, Syrie, Jordanie, Irak et Iran. Durant, cette période, il a piloté les travaux de la Banque Mondiale sur la crise des réfugiés syriens et ses conséquences sur la région.

En 2018, il est bombardé Vice-président de la Banque Mondiale pour la région Mena, période durant laquelle de nombreux rapports complaisants sur le Maroc ont été rédigés dont le dernier qui classe le royaume du mal et de la misère comme étant un des rares pays qui ont tiré profit de la pandémie. Quel gros mensonge!

A partir de la, il ne faut plus s’étonner de lire a l’avenir de faux-rapports sur l’Algérie commandés et orientés par le Makhzen marocain.

Il faut s’attendre a d’autres révélations sur cette solide amitié entre le Makhzen et Farid Belhadj, surtout que les langues commencent a se délier…

Rapport erroné de la Banque mondiale: cherche-t-on a déstabiliser l’Algérie?

Le dernier rapport de la Banque mondiale sur l’Algérie dénote une forte tendance a voir l’Algérie en noir.

Dans un rapport sans aucune valeur, qui n’a rien de financier, visiblement rédigé sur instigation de certaines parties connues pour leurs hostilités a l’Algérie, la Banque mondiale s’en prend a l’Algérie.

Elle s’est même arrogée, toute honte bue, un droit de prédire un séisme qui dévasterait la capitale. De quoi créer et alimenter une psychose au sein de la population.

Ce rapport qui a occulté toutes les bonnes performances économiques et sociales de l’Algérie, a osé inventer des chiffres sur une “prétendue pauvreté en Algérie”, au moment où tous les indicateurs de pauvreté sont au vert.

Et pourtant, la pauvreté a une adresse dans la région. Mais, la BM n’en parle pas, il n’est pas question de rapporter des vérités et donner les vrais chiffres de la pauvreté au Maroc. Il faut protéger ce royaume du mal et de la misère chuchoté par les patrons de l’institution de Bretton Woods.

La Banque mondiale est sortie de son rôle et a abandonné ses missions, le temps de rédiger un rapport mensonger sur le pays, elle a pris l’outrecuidante liberté de statuer sur la situation de l’Algérie qui connaît, pourtant, une embellie dans tous les domaines, y compris dans son taux de croissance.

L’Algérie condamne et rejette dans le fond et dans la forme cette immixtion flagrante de la Banque mondiale. Il s’agit d’une vaine tentative de déstabilisation a la soft power d’un pays qui avance mais qui dérange.

La Banque mondiale avait annoncé en 2019 que l’Algérie allait emprunter de l’argent, alors que la situation financière du pays connaît un redressement spectaculaire au moment où les protégés de cette institution financière et de ses lobbies sombraient dans de très graves crises socio-économiques.

                                                                                                                                                       

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