Discussions entre Bouteflika et Hans Bliks, sur le dossier nucléaire
L’ancien président du groupe d’experts internationaux, autour des armes destruction massive en Irak, a atterri hier à Alger dans une visite surprise en Algérie. il a été reçu au siège de la présidence de la république Aabelaziz Bouteflika M.Bliks a déclaré que le poste qu’il occupe actuellement comme président de la formation internationale pour l‘interdiction de la propagation des armes de destruction massive dans une déclarations à la presse après sa sortie de la rencontre à laquelle a assisté le ministre des affaires étrangères M. Mourad Medelci que « l’Algérie a un rôle important, qu’elle peut jouer avec ses capacités intellectuelles et sa position médiane pour l’interdiction de la propagation des armes nucléaires », mentionnant qu’il a discuté de avec le président de « la question de l’énergie nucléaire » et son utilisation dans la production de l’énergie électrique et d’éviter de l’utiliser pour des causes non pacifiques. Le responsable ajoute par ailleurs : « nous nous sommes intéressés à la manière avec laquelle nous trouverons les moyens pour diriger les armes et les nouvelles orientations pour l’interdiction des armes et éviter les mauvaises applications nucléaires à l’avenir ».
L’orateur a en outre assuré : « la guerre en Irak a prouvé que les moyens militaires n’étaient pas suffisants, et qu’il fallait utiliser les moyens diplomatiques pour arranger la situation », tout en éclaircissant sa position lorsqu’il s’est opposé à une attaque militaire à l’Irak en 2003 et les menaces américaines à frapper l’Iran.
Les médias avaient selon lui « publié des informations que l’agence internationale l’énergie atomique avait reçu une demande de cinq pays arabes, dont l’Algérie pour les aider à utiliser l’énergie nucléaire à des fins pacifiques » .s’ajoute à cela le fait que le dossier d’aide à l’Algérie, pour utilisation la technologie à des fins pacifiques est l’un des plus important axes de la visite de Nicholas Sarkozy ś algérie. Le diplomate suédois figure actuellement parmi les opposant au langage de menace qu’emploient les états unis d’Amérique contre l’Iran pour son dossier nucléaire .Belkis a récemment invité l’Iran et Israël à arrêter la production de l’uranium, dans le moyen orient, comme solution finale pour arrêter le conflit avec Téhéran, comme il a invité les états unis d’Amérique à donner des garanties sécuritaires à Téhéran pour l’encourager renoncer à ses fins nucléaires.