Le groupe Sonatrach est menacé d’importer des compétences vu que 900 cadres ont quitté l’entreprise jusqu’à 2007

Des sources fiables au sein du groupe « Sonatrach » ont révélé le détournement des cadres de l’entreprise vers des groupes concurrents et qui a atteint un degré très dangereux, vu qu’il n’existe aucun plan pour arrêter ce qu’ils dénomment : l’émigration vers les entreprises pétrolières du Golf et occidentales.Ces entreprise  opèrent dans le sud algérien ou dans le golf arabe ainsi que dans certains pays du continent africain qui ne cessent d’allécher les compétences algériennes en raison du coût élevé de la formation d’ingénieur et les techniciens dans le domaine des hydrocarbures dans les écoles américaines et européennes. Nos sources, éclaircissent que le nombre de cadres  qui ont quitté le groupe durant les trois dernières années a atteint 900 cadres de spécialités exactes jusqu’en 2007, et c’est un chiffre revu à la hausse selon la même informateurs, après que les entreprises pétrolières publient leurs annonces en Algérie pour chercher des ingénieur qualifiés pour travailler au golf et dans les pays pétroliers africains.

La situation va vers le pire, selon ces responsables  à cause du retard observé à traiter le phénomène de par la tutelle et la direction générale du groupe « Sonatrach », qui a gardé  le silence malgré les répercutions négatives  des départs des meilleurs ingénieurs et techniciens  vers des entreprises qui a pu appâter les cadres par des salaires avoisinant les 120 millions de centimes par mois pour certaines spécialités. Notamment, les ingénieurs formés durant les années 70 et 80 à l’institut algérien de pétrole qu jouissent d’une grande expérience.  Ces cadres ont été poussés  à quitter à cause des pressions sociale et des offres des entreprises étrangères, vu que les salaires  proposés sont 8 à 12 fois plus élevés. Ce qui rend les augmentations rendues publiques par le groupe et qui vont de 20 à 40%  (des primes et des promotions pour les employés du groupe  qui sont au nombre de 40  mille. Ces départs ont poussé le groupe à prendre la décision de re-découper Hassi Messaoud en quatre zones pour travailler de manière plus importante que les années précédentes ce qui a semé le doute à des hauts niveau dans le groupe , et notamment avec le silence de l’administration. Un silence « qui signifie la mauvaise foie de certaine parties qui visent à affaiblir le groupe et   le vider de ses compétences afin qu’ils puissent revoir les systèmes actuel et ouvrir les portes à des entreprise américaines et européennes. C’est le plan que nous commençons à identifier avec la nouvelle loi sur les  hydrocarbures 05-07, avortée par le président de la république.